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Tout d’abord il faut savoir que l’on est considéré par la loi comme olé hadash durant les dix années suivant celle de l’Alyah. Au cours de ces années, vos enfants bénéficieront d’aides au cours de leur scolarité. Ils auront le choix entre 15 points bonus (si ils ont fait l'alyah 7 ans plus tôt au maximum, sinon c'est 10) pour chaque examen, ou passer l’examen en mode olé hadash. Cela veut dire que le correcteur du bac sera mis au courant qu’il corrige une copie d’un olé et donc ne considèrera pas les fautes d’orthographe, de grammaire ou de conjugaison. Autre avantage : le bac olé hadash comporte moins de chapitres.

Le bac olé hadash n’existe pas en maths, les élèves devront donc se contenter de l’option 15 (ou 10) points bonus (snif). C’est également le cas pour les mégamot (options), excepté pour le bac de Français.

L’anglais fait figure d’exception, dans cette matière il n’y a pas de points bonus ou de programme pour olé.

Attention, contrairement aux points bonus décernés par les yehidot, les points bonus des olims ne permettent pas de dépasser la note de 100 sur 100.

A présent, abordons la question essentielle, est-il préférable de choisir les points bonus ou de passer l’examen en mode olé hadash ? Personnellement, je me range du côté de mes anciens professeurs de lycée : si vous avez fait votre Alyah il y a moins de 7/8 ans je recommande le bac en mode olé hadash, surtout si vous êtes en classe d’olims. Au contraire, pour un élève qui a un excellent hébreu, les points bonus semblent préférables.  

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